Généalogie familiale
Remontez le fil du sang : chaque famille a une histoire à révéler
Quelle est notre histoire et notre place dans l'histoire ?
Chaque nom, chaque lieu, chaque date et évènement aussi bénin soit-il, raconte une histoire.
La généalogie familiale, c’est bien plus qu’un simple arbre : c’est un héritage vivant, une mémoire retrouvée, un lien intime avec ceux qui vous ont précédé.
Que vous souhaitiez comprendre vos racines, honorer vos aïeux ou transmettre un récit familial à vos enfants, nous vous accompagnons dans cette aventure humaine, rigoureuse et passionnante. Après tout, savoir où l’on va c’est d’abord savoir d’où l’on vient.
Les tables d’ascendance et de descendance font apparaître l’ampleur du brassage social. Nullement figées, les classes ne sont pas la juxtaposition d’individus ; elles sont formées de membres de familles dont la place dans l’échelle sociale ne cesse de varier.
Les sciences humaines ne peuvent étudier l’homme indépendamment de l’histoire des familles ; la généalogie est donc une science : elle rend compte aussi bien des caractères dus à l’hérédité que de ceux qui sont acquis sous l’influence du milieu dans lequel l’individu se forme dans sa jeunesse.
Le généalogiste plonge dans des registres publics tels que les archives d’état civil, les recensements, les testaments, les livres d’église, et autres documents historiques d’archives.
Le travail du généalogiste ne se limite pas à une simple collecte de données. Il comprend également la rédaction de rapports détaillés et l’organisation de l’information de manière claire et lisible, souvent sous forme d’arbres généalogiques.
En plus des recherches, le généalogiste aide les particuliers à comprendre l’importance historique de leurs racines, à résoudre des mystères familiaux ou même à découvrir des liens oubliés.
Des prestations adaptées à vos envies pour s'approprier sa généalogie
Arbre généalogique ascendant descendant ou mixte avec ou sans collatéraux
→ au format PDF ou imprimé sur papier d’art avec encadrement possible
Dossier historique illustré
→ livret complet avec notices biographiques, cartographie générale et même possibilité d’établir un atlas de localisation et de migration par branche, photos d’archives fournis par le client, métiers, anecdotes. Format PDF, reliure/livret ou même édition d’un livre.
Chronique familiale à la manière d’un roman
→ rédaction d’un récit romancé basé sur les faits historiques vérifiés, style narratif fluide, avec prénoms et lieux conservés. Option lecture audio possible.
Ligne de vie d’un ancêtre « remarquable »
→ focus sur un ancêtre avec parcours atypique (militaire, ecclésiastique, notable, etc.) : mise en récit et contextualisation historique.
Capsule mémoire vidéo (en option)
→ montage vidéo court (2–3 minutes) avec photos, voix off et musique douce, à offrir ou à transmettre.
Pour quelles occasions ?
Carte cadeau “Arbre à offrir” : format élégant à offrir pour un anniversaire, un mariage, une naissance, un départ à la retraite, etc.
Option parchemin calligraphié à la main : présentation artisanale du résultat, à encadrer.
En option : présentation orale par le généalogiste du résultat lors d’un événement privé (avec présentation visuelle/diaporama, comme une animation).
Jusqu'où retracer ses racines ?
En moyenne, en ce qui concerne les Français autochtones, 90% environ d’ascendants sont retraçables jusqu’à la Révolution, période charnière où en 1792/1793 les registres paroissiaux (baptême, mariage, sépulture) laissent place aux registres d’état civil (naissance, mariage, décès) classifiés et organisés rationnellement en tables décennales.
Sous l’Ancien Régime (avant la Révolution), pour ce qui est des sujets français catholiques (99% de la population française d’alors), nous estimons à 60% environ la possibilité de retracer les ascendants à la fin du règne du roi Louis XIV, appelé le “Grand Siècle”, c’est-à-dire vers la fin du XVIIème siècle et début XVIIIème siècle, et à 10% à la Renaissance (XVIème siècle), période à partir de laquelle fut systématisé et généralisé dans le royaume la tenue d’un registre paroissial des baptêmes, mariages et sépultures. D’abord par l’ordonnance de Villers-Cotterêts signée en 1539 signée par le roi François Ier qui officialise la tenue d’un registre de baptêmes par les curés de chaque paroisse. Puis par l’ordonnance de Blois signée en 1579 par le roi Henri III qui officialise la tenue d’un registre des mariages et des sépultures.
Au-delà (avant la seconde moitié du XVIème siècle) il devient rarissime mais pas impossible de retracer une ascendance. Quelques registres paroissiaux pouvaient exister de façon très localisée dès le XIVème siècle, les familles issues de l’ancienne noblesse, de “sang bleu”, étant plus facile à retracer historiquement. Enfin, grâce, à diverses archives notamment notariales, fiscales, ecclésiastiques/religieuses, il est parfois possible de retracer pour quelques décennies ou siècles supplémentaires, ses lignées ascendantes.
Nombre théorique d'ascendants par génération & degré
| Génération | Degré | Nombre d'individus | Total cumulatif | Année de naissance | Commentaires | Probabilité de retracer les ascendants |
|---|---|---|---|---|---|---|
| 1 | 0 | 1 | 1 | 2025 | De cujus / individu racine | > 90% |
| 2 | 1 | 2 | 3 | 1995 | Parents | |
| 3 | 2 | 4 | 7 | 1965 | Grands-parents / aïeux | |
| 4 | 3 | 8 | 15 | 1935 | Arrière-grands-parents / bisaïeux | |
| 5 | 4 | 16 | 31 | 1905 | Trisaïeux | |
| 6 | 5 | 32 | 63 | 1875 | Quadrisaïeux | |
| 7 | 6 | 64 | 127 | 1845 | Quinquisaïeux | |
| 8 | 7 | 128 | 255 | 1815 | Dénomination peu usitée | ≈ 90% env. 400 ind. |
| 9 | 8 | 256 | 511 | 1785 | ||
| 10 | 9 | 512 | 1 023 | 1755 | ||
| 11 | 10 | 1 024 | 2 047 | 1725 | ||
| 12 | 11 | 2 048 | 4 095 | 1695 | ≈ 60% env. 2 500 ind. | |
| 13 | 12 | 4 096 | 8 191 | 1665 | ||
| 14 | 13 | 8 192 | 16 383 | 1635 | ||
| 15 | 14 | 16 384 | 32 767 | 1605 | ||
| 16 | 15 | 32 768 | 65 535 | 1575 | ≈ 10% env. 6 500 ind. |
Avec un indice conjoncturel de fécondité de 2,1 avant 1939 et à 5,5 enfants par femme en 1750 (contre 1,6 aujourd’hui), établir une généalogie exhaustive d’ascendance avec collatéraux peut multiplier par 3 ou 4 environ le nombre théorique d’ascendants directs et collatéraux retraçables.
Nos honoraires : un devis adapté sur un diagnostic préalable et gratuit
Parce qu’il y a autant d’individus que d’histoires différentes, d’origines différentes et de cas particuliers, chaque recherche est unique.
C’est pourquoi je propose un diagnostic préalable gratuit, sans engagement, pour évaluer le potentiel de recherche et vous indiquer les sources disponibles.
À l’issue de cette première analyse, je vous adresse un devis personnalisé, transparent et détaillé, en fonction :
du type de bien (maison, terrain, immeuble, etc.)
de la complexité des recherches à mener
des objectifs souhaités (généalogie ascendante limitée à la plus poussée possible, directe ou avec collatéraux, descendante à partir d’un individu, d’un nom rare, etc.)
Des déplacements à prévoir depuis le siège situé Toulouse
Pas de surprise, pas de tarif figé : vous ne payez que pour ce qui est réellement utile.
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